Présentation
Insatiable Joséphine (Josephine Mutzenbacher) est un film d’Allemagne de l’Ouest sorti en 1976, réalisé par Hans Billian.
À savoir l’interdiction sur la pornographie a été levée en 1975 en Allemagne !
Le film est une adaptation du roman best-seller érotique autrichien Josephine Mutzenbacher ou L’histoire d’une pute viennoise racontée par elle-même, écrit en 1906 par un auteur inconnu. Dans le bouquin c’est un peu plus glauque à ce que j’ai pu comprendre l’histoire commence alors que Joséphine n’a que 5 ans et il n’est pas question de demi frère ou demi père. #inceste #pedophilie #malaise …
Le rôle de Joséphine est interprété par la magnifique Patricia Rhomberg, compagne de Hans Billian à l’époque. Elle a d’ailleurs durant sa carrière de 1975 à 1979 joué uniquement dans ses films.
Jim Holliday le célèbre critique et historien de films pornographiques (oui oui ça existe) dit dans son livre « Only the Best: Jim Holliday’s Adult Video Almanac and Trivia Treasury » qu’Insatiable Joséphine est son film d’outre atlantique préféré.
La critique est assez unanime ce film est toujours aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs films pornographiques de tous les temps. Rien que ça !
Cette VHS est éditée par Fil à Film dans la collection Prestige Exhibitions.
L’analyse de Vagina Sky
Le retour de mon tendre Phallus Gump du Hellfest était difficile. Manowar ayant annulé son concert au festival, il fallait remonter le moral de mon cher acolyte. Pour cela, j’avais choisi LE film à regarder. Mais comme un malheur n’arrive jamais seul, le magnétoscope avait décidé de nous lâcher. Après avoir finalement trouvé le graal, nous sommes de retour et nous pouvons enfin vous livrer la chronique du très célèbre et cultissime ‘’Insatiable Joséphine’’ !
On plonge donc dans l’histoire (et pas que !) de Joséphine, une jeune femme de 17 ans vivant au 20ème siècle, qui découvrira les joies du sexe et qui en deviendra complètement accroc.
Le film passe à une vitesse folle ! Il est très bien réalisé car même si les scènes de cul n’envoient pas franchement du lourd à mon sens, l’excitation est bien amenée et de manière subtile grâce à la mise en scène des situations : voyeurisme, pas de nudité intempestive mais corps suggérés, la peur de se faire surprendre présente tout au long du film. De plus, cette réalisation est décrite comme comédie et on comprend pourquoi. On rit, le scénario est plein de répliques plus drôles les unes que les autres. Petit exemple de ce qui a retenu mon attention : ‘’J’ai l’impression de me faire baiser par un régiment de grenadiers en colère.’’, ‘’J’aimerais bien avoir des queues à domicile, ce serait un conte de fées .’’. Ou encore :
‘’- Tu bandes comme un mammifère !
- Naturellement, j’ai une grosse bite.
- Tu vas bien la faire sortir pour qu’elle rigole ?
- Et je vais la faire se marrer dans ton cul.’’
Niveau casting, l’actrice principale incarnant Joséphine est extrêmement belle et c’est un véritable plaisir de suivre ses aventures coquines. J’ai été moins sous le charme des messieurs. Peut-être à cause de la moustache… ouais… je suis pas fan de la moustache, même celle de Magnum je le confesse. En fait, j’ai été déçue, je m’attendais à voir de la moustache morse. Celle qui était à la mode fin 19ème – début 20ème , généreuse, volumineuse, celle qui rend l’homme viril et qui lui donne du prestige ! Mais on ne peut pas tout avoir, c’est déjà un film en costume, et j’aime ça ! Côté bites, on n’est pas dans l’extravagance, les hommes sont membrés normalement et c’est plaisant.
En parlant de virilité, ce qui m’a beaucoup plu dans ce porno, c’est que ce n’est pas un film pour bonhommes. Ici, les femmes prennent leur pied, s’expriment et mènent la danse. Je rappelle que la femme est centrale puisque c’est Joséphine qui nous conte son histoire. Elle a du caractère, elle sait ce qu’elle veut et elle se fait plaisir. Les hommes ne sont pas dépeints comme des grosses bêtes assoiffées de cul à tout prix. D’ailleurs, au moment où Joséphine se fera vraiment pénétrer pour la première fois, ce sera avec son voisin qui se montrera bien content de déniaiser une pucelle certes, mais avec douceur et pédagogie.
Un des deux moments où il est question de domination, et bien malaisante, c’est dans la scène avec… le curé ! Il abuse de son pouvoir d’homme d’église pour arriver à ses fins. Point positif, il ne couche pas avec un enfant (Joséphine a fêté ses dix-huit ans entre-temps) ! Du moins, peut-être pas cette fois-ci. Quoi qu’il en soit le scénario avec le curé vaut son pesant d’hosties : ‘’Après avoir péché il serait utile de retirer le reliquat foutral. Tu feras trois Ave et deux Pater.’’
Pour les aspects moins réjouissants pour moi, c’est la question de l’inceste. Joséphine met un pied dans le cul (au sens figuré hein…) avec son demi-frère et à la mort de sa mère, elle couchera avec son beau-père. Alors certains diront « oui oh tant qu’y’a pas les liens du sang, nanani, nananaaaaa, ça paaaaaasse…’’. Je peux comprendre que ça puisse en exciter certaines ou certains mais moi, ça me débecte.
Enfin, détail qui m’a amusée : c’est l’anachronisme créé par les marques de maillots de bain des acteurs et actrices. On sait qu’en début de 20ème siècle, les maillots relevaient plus de la combinaison que du string et soutif triangle.
Pour terminer, je l’avoue je suis séduite. Un peu de clââââsse dans un porno ça fait du bien. Pas de langage trop grossier, vouvoiement de rigueur, de l’humour, du rythme, ça fait du bien ! Il ne nous reste plus qu’à nous procurer le livre pour creuser un peu plus le sujet. Je cours mettre cette VHS très recherchée dans le coffre car celle-ci, il n’est pas question qu’on s’en sépare !
L’histoire racontée par Phallus Gump
Dès la première scène nous faisons connaissance avec Joséphine, elle nous explique qu’elle va nous raconter ses mémoires selon elle aussi connues que celle de M. Casanova.
Pendant que Joséphine nous parle elle est confortablement assise sur une verge qu’elle fait juter à la main.
Dit-elle avant de commencer son histoire…
Tout commence à l’époque ou elle n’avait que 17 ans, un jour ou elle aperçoit son beau-père baiser sa mère. Elle surprend son beau-frère se masturber en regardant la scène, excitée elle va vers lui le caresser et le branle, elle lui demande de l’imiter.
Il ne se fait pas prier. Il ui remonte sa chemise de nuit et lui caresse la minette mais très rapidement il en veut plus et lui propose de le rejoindre dans sa chambre. Mais alors qu’il essaye de la pénétrer, Joséphine a mal, elle refuse d’être baisée mais veut le faire oralement. C’est parti pour un 69 très court, car son demi-frère jouit très rapidement dans sa bouche.
Voilà c’est ce jour où tout a changé pour Joséphine !
De plus en plus elle épie les adultes et s’aperçoit de beaucoup de choses. Sa maman n’est pas très prude et s’occupe bien plus que de servir à manger aux clients de son auberge. Son papa lui n’est pas fidèle, et rend des services très particuliers à la voisine Mme Reinthaler.
Un jour Joséphine surprend sa mère baisant avec un client du nom de Monsieur Eckhard qui a passé la nuit chez eux.
« Elle n’ a pas déchargé elle est pourtant bien pleine »
La brave maman demande à son merveilleux amant qui a entreprit de la faire jouir une seconde fois d’arrêter de peur que Joséphine les surprenne. Mais c’est trop tard. Derrière la porte elle ne rate pas une miette du spectacle et se jure d’en finir rapidement avec son pucelage.
Alors que Mme Mutzenbacher a joui une seconde fois. Elle rend la pareille à Monsieur Eckhard d’une pipe qui se termine en giclée faciale. Joséphine fait semblant de tout juste rentrer du marché.
Toujours avec son idée derrière la tête, elle allume le client en lui plongeant le nez dans son corsage.
Malheureusement pour elle son petit jeu ne marche pas et elle se fait gronder par sa mère.
Vexée elle se jure qu’elle ne ratera pas la prochaine occasion de se faire baiser !
Un autre jour un livreur, M. Horak, vient déposer des tonneaux de bière dans la cave des Mozenbacher. Horak est un bel homme qui plaît à Joséphine.
Ce livreur entretient une liaison avec la voisine Mme Reinthaler, il a l’habitude de la baiser dans la cave. Joséphine saute sur l’occasion et entre dans la cave durant cette besogne.
M. Horak pense qu’elle veut les faire chanter et veut acheter son silence mais que nenni elle est là pour s’occuper de la queue de ce beau livreur et surtout qu’il s’occupe d’elle.
Très rapidement elle prend la chose en bouche.
« Pour une débutante tu sais que tu as déjà une technique excellente ! »
Mme Reinthaler, jalouse d’être délaissée par son baiseur se demande si elle est vraiment débutante vu la technique de langue que Jopséphine maîtrise à la perfection.
Cette fois c’est bon, elle va se faire déniaiser. Elle fait chanter la voisine en lui disant qu’elle sait qu’elle se tape son demi-père !
« Vraiment je ne peux pas lui refuser ça ! C’est pas tous les jours que l’on peut se permettre de baiser une vierge »
Le dépucelage se déroule tout en douceur pour Joséphine qui s’assoit sur son amant. Très rapidement elle prend son pied sur ce gros chibre.
« C’est fantastique ! Tu as des dons de naissance […] Ton p’tit con est si étroit qu’il m’étrangle presque la queue »
M. Horak en très bon prof lui fait à présent connaître la levrette, alors qu’elle jouit il se retire pour venir lui éjaculer sur les fesses.
« Joséphine c’était une vraie fête. Foutu dieu ! Tu m’a mis sur les genoux »
Durant les semaines qui suivirent elle recommença souvent à baiser avec Horak et à partir de ce jour-là elle commença à dormir nue. Joséphine a l’impression que faire l’amour a un très bon impact sur son physique sa poitrine devient celle d’une femme.
Malheureusement un jour sa mère contracta une pneumonie elle se retrouva seule avec son beau père, son frère étant parti faire son service militaire.
Joséphine remplace sa mère dans TOUTES ses tâches à l’auberge. On retrouve Monsieur Eckhard qu’elle réveille d’une branlette, encore endormi il pense que c’est Mme Mutzenbacher mais qu’elle fut sa surprise quand il s’aperçut que c’est Mlle qui le prend en main, lui qui l’a refusé quelque temps auparavant.
« Petite salope viens ici, suce moi d’abord et après on fera l’amour »
Aussitôt dit aussitôt fait. Monsieur Eckhard se rend compte qu’elle n’a pas de culotte.
« Je vais te l’enfoncer jusqu’à l’estomac »
Joséphine semble déçue de la rapidité avec laquelle a joui M. Eckard
« Vous voulez dire que c’est fini ? Vous plaisantez !»
Elle décide de lui redonner de la vigueur en le prenant en bouche mais M. Eckard veut se reposer Joséphine le provoque. Blessé dans son égo il lui demande de sucer son petit con, après cela ses forces reviennent mais c’est Joséphine qui prend le contrôle en le chevauchant.
« Où diable as-tu appris tout ça ? »
Après trois jouissances Monsieur Eckard est à bout !!!
« Je me suis juré de faire mieux que ma mère […] M. Horak peut faire ça 5 fois»
Son amant est joueur et sportif il décide de battre le record et retourne au charbon.
« Je vais te prendre par-derrière comme les chiens petite voleuse de sperme et cette fois tu vas t’en souvenir. […] Je te baiserai jusqu’à ce que tu demandes grâce. »
Joséphine a enfin joui et le finit dans sa bouche en le branlant.
Alors qu’elle retourne à la cuisine faire réchauffer le café sans prendre la peine de se rhabiller elle tombe sur son père qui lui annonce que sa mère est morte à l’hôpital.
Suite à cette triste aventure le beau-père de Joséphine s’enferma dans le mutisme. Joséphine, elle, décide de fuir le contact des hommes. À cette période pour contenter le manque de son corps très demandeur elle se masturbe beaucoup avant de s’endormir.
Un jour elle se sent observée, elle sort de son lit et aperçoit beau-papa en pleine séance de masturbation. Joséphine est très compréhensive. Le pauvre… Le lendemain matin son père adoptif lui demande d’aller se confesser .
Une fois à confesse elle dit tout ce qu’elle a fait à M. le curé qui paraît très pervers et qui ne perd pas de temps à la déshabiller pour goûter son fruit défendu.
L’homme d’Église qui joue de sa bite, veut tous les détails. Il dit pouvoir la purifier de sa sainte verge immunisée contre la luxure. Elle doit reproduire tout ce qu’elle a fait.
« Oh la petite cochonne, quelle pécheresse le ciel m’envoie […] Je vais y mettre mon cierge […] C’est de cette façon que le diable a fait son œuvre ? »
Une autre confessante du nom de Marezi arrive. Monsieur le curé lui dit qu’elle est là bien trop tôt mais que l’absolution sera bientôt là.
Joséphine invite Marezi à les rejoindre, elle s’exécute et vient lui caresser les seins.
« Je vais bientôt te donner ma bénédiction, que ton péché soit absous par le ministre du Seigneur […] une âme purifiée par mon saint office, il faut rendre ce que tu as reçu tu ne peux pas emporter hors de ces lieux ce qui appartient à l’église »
« L’église a été bien généreuse je reviendrai me confesser »
« Il serait utile qu’un peu d’eau enlève le reliquat foutral qui s’y trouve encore »
Le curé n’a plus la force de s’occuper de Mme Marezi alors les deux femmes partent ensemble en calèche conduite par Yohan le cocher.
Bien entendu c’est parti pour une bonne séance de baise ! Ça tombe bien Marezi ne s’est pas encore branlée aujourd’hui ça va être la fête à son cul !
« J’ai l‘impression de me faire bourrer par un régiment de grenadiers en colère ! »
Une fois l’affaire terminée Joséphine se rend chez sa nouvelle amie à la rencontre de tous ses baiseurs, le valet le jardinier, le cuisinier, etc.
Alors que Marezi se prend la pine bien dure en levrette de Leopold un de ses serviteurs, Joséphine en mateuse est excitée. Elle mouille de plaisir !
Marezi lui propose de s’occuper de son minou, il ne faut pas le lui dire deux fois !
Un nouvel employé de la maison rentre dans la chambre bien décidé de baiser à couilles rabattues, vous imaginez bien qu’il est accueilli à bras grands ouverts ! Joséphine s’empresse de le sucer avant de partager cette grosse sucette avec Marezi.
Leopold ayant joui sur le mont velu de Marezi, il s’occupe à présent du minou de Joséphine de ses doigts.
« J’aimerais bien être à ta place, avoir des queues à domicile ! Un vrai conte de fée »
De retour chez elle notre belle Joséphine discute avec son beau-père. Il lui dit que ce soir elle dormira avec lui, il a loué sa chambre à Rudolph un client. Le Rudolph paraît bien cochon, il drague ouvertement Joséphine et lui caresse même un sein.
Le soir venu Joséphine et son père se retrouvent donc ensemble au lit. Beau-papa constate que sa belle-fille dort nue ! Il a un peu bu et ça ne le laisse pas indifférent. Couchés ils parlent de ce nouveau locataire un peu bizarre puis de sa visite chez le curé. Il lui demande si le curé a été cochon tout en lui prenant et caressant les seins, puis le sexe, il veut savoir si l’homme d’Église l’a pénétrée, il joint ses gestes à la parole de ses doigts dans la grotte de Joséphine.
Bien que très excitée par cet événement Joséphine ne veut plus que son beau-père la branle. Au milieu de la nuit Joséphine est réveillée par son beau-père qui lui embrasse un sein, elle fait semblant de rester endormie, elle voulait savoir jusqu’où il pouvait aller. Il lui fourre la queue dans sa main puis se frotte sur sa minette pour lui éjaculer dans les poils.
Le lendemain matin, le nouveau client toujours chelou demande à Joséphine si c’est une provocation que de le servir en chemise de nuit. Joséphine lui fait comprendre qu’elle n’est pas du tout intéressée par ce vilain bonhomme mais lui, lui fait comprendre qu’il veut se dégourdir la queue avant de prendre son petit déjeuner. Il essaie même de la violer.
« Appelle la police espèce de petite vicieuse un jour tu vas me supplier les fesses en l’air pour que je t’encule à sec »
Le même soir Joséphine se couche seule dans le lit, son beau-père est sorti au bar mais dans la nuit elle est réveillée par des caresses. C’est son beau-père qui vient de rentrer cette fois bien décidé à rentrer dans Joséphine. Ce qu’il s’empresse de faire. Cette fois Joséphine ne fait plus semblant de dormir.
« Papa mais qu’est-ce que tu fais ? Tu es en train de me baiser ? »
A partir de ce jour-là, ils baisaient tous les jours, matin et soir, en prenant de moins en moins de précautions avec pipes et branlettes à chaque petit déjeuner. Mais ce qui devait arriver arriva ! Un jour Rudolph les surprend en pleine action. Une fois de plus il essaie de violer Joséphine et la menace de dénoncer cette relation incestueuse à la police.
Joséphine est prise au piège et est obligée de céder à ses demandes.
« Tu aimes ça petite salope tu sais que tu as une chatte qui m’excite et qu’elle est faite pour recevoir des grosses queues ! Elle va s’ouvrir pour la mienne ! Oui la bite de Rudolph oui tu vas la prendre et tu baiseras avec moi ! Les bites ça te connaît »
Joséphine est bien contrainte de céder, il veut la brouter un peu avant de la baiser, ils se positionnent alors en 69 puis il la prend en levrette avec un pouce dans le cul en bonus. Finalement Joséphine apprécie la grosse pine de M. Rudolphe car elle dit n’avoir jamais joui comme ça !
Le soir M. Muzenbaher rentre complètement bourré de son travail, il s’est fait virer à cause de ses retards matinaux.
M. Rudolphe se révèle être en fait un proxénète. Il décide de transformer l’auberge en bordel. Pour cela, il a de bons arguments, il envoie une de ses fille Zenzi branler M. Mutzenbacker pendant qu’il demande une pipe à Joséphine.
« Très bien Zenzi tu vas glisser la grosse bite de notre ami Mutzenbacker dans ton minou »
Et voila un carré de baise bien organisé dans la chambre.
Comme M. Mutzenbacher ne travaillait plus c’est l’argent du petit business de M. Rudolph qui amène un peu d’argent à la maison. Zenzi se dévoile être une maîtresse dominatrice.
M. Rudolphe dit qu’avec deux filles ça pourrait rapporter gros ! L’accord est conclu, Joséphine aussi se prostituera. Zenzi explique toutes les petites ficelles du métier à Joséphine.
Et voilà une petite entreprise rondement bien menée.
Un jour chez M. Ferringer, un très riche client, Joséphine se fait d’abord baiser par Joseph un de ses serviteurs. M. Ferringher est en colère elle est à lui ! Joséphine le fait jouir de sa main et fait un peu de teasing ! Pour la suite il faudra voir le film « désir inavouable de Joséphine »
Synthèse
Ce film est un véritable chef d’œuvre !
Au delà même du scenario, c’est bien réalisé, les acteurs jouent juste (en tout cas le doublage est bon), les décors et costumes sont beaux. Attention par contre, la BO reste dans la tête très longtemps.
A la fin de la VHS Jean-François Davy nous parle du film et surtout des suites, on vous laisse découvrir ça. Nous on se met en quête de les trouver !