Pochette de Chronique de The Pyramid 1 • Sur VHS Porno - Le X c'était mieux avant
Titre Original : Private Gold 11: Pyramid 1
Style du film : Porno aventurier
Date de Sortie du Film : 1996
Date de Sortie de la VHS:
Distributeur de la VHS:

Private

Origine : Internationale
Durée : 120min
Réalisateur : Pierre Woodman
Actrices : Tania Russof, Angelica Mirai, Kristina Klevits, Sandra Dark, Regina
Acteurs :
Synopsis : William Reuter et son épouse Elizabeth sont archéologues. Ils étudient le site d'Abu-Sir lieu protégé et interdit lorsqu'ils découvrent une pierre ancienne sur laquelle est gravée la carte menant au trésor de la pyramide. Après maintes aventures avec un pêcheur, ils atteignent la pyramide et son trésor caché à l'intérieur d'un sarcophage. Ce sarcophage révélera également une princesse Égyptienne vivante après 4.000 ans d'enchantement, elle racontera sa vie aux côtés du Pharaon. William et Elisabeth décident de rentrer au Caire en compagnie de la princesse et obtiennent un rendez-vous au Ministre de la Culture, ce dernier leur offrira une récompense pour la découverte du trésor. Cette histoire inattendue repoussera les limites de vos surprises et de votre imagination. Ne manquez surtout pas la première partie de cette trilogie où vous découvrirez pas moins de quarante filles superbes. Mystère, aventures et luxure laissez-vous fantasmer...

Présentation

The Pyramid 1 (ouais il faut préciser le 1 car c’est une saga en 3 épisodes) est un film réalisé par Pierre Woodman en 1996 pour Private dans leur collection Private GOLD.

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On reconnait bien Pierre Woodman connu pour ses castings, dans ce film les acteur·ices·s ont tous une plastique impeccable, malheureusement on sent aussi la patte de Woodman pour les dialogues c’est rigolo au début mais too much à la fin…

Pierre Woodman
il connait aussi une blague avec une tortue

La star de cette saga est d’ailleurs Tania Russof qui a été une épouse de Pierre Woodman mais également la star de Tatiana film qu’on recherche absolument !

Tania Russof et ses copines de bains Tania qui nettoie un gland

Ce film a le mérite d’être tourné en décor naturel, il y a même des serpents ! Par contre je pense que plusieurs figurants qui apparaissent à l’image ne s’imaginent toujours pas aujourd’hui être dans un porno…

L’analyse de Vagina Sky

Si je devais résumer ce film en quelques mots ? Eh bien je dirais « long » (CMB ! ) et « too much ».

Pour être honnête, en voyant la pochette de la VHS, je me faisais une joie de me vautrer dans le canapé avec mon bol de pop-corn et mon stylo (oui un stylo, je bosse avec beaucoup de sérieux !). Je me suis rappelée de ma tendre enfance où l’Egypte au temps des pharaons me passionnait. Alors allier une de mes premières passions au cul, je trouvais ça formidable et j’avais vraiment hâte de voir ce film.

Pour commencer, on sent qu’il y a du budget du côté des réalisations de Pierre Woodman, une envie de bien faire les choses et de faire voyager le spectateur aussi bien dans l’espace que dans le temps en plus de lui faire dresser le pyramidion et de faire mouiller dans les pagnes.  Mais pour moi, quelle déception et ce, sur plusieurs aspects du film. Je m’explique.

L’histoire était alléchante avec deux archéologues qui font la découverte d’un tombeau dans lequel une déesse de plus de 4000 ans revient à la vie assoiffée de sexe. (On peut la comprendre, 4000 ans, c’est long… CMB !). Mais avant d’enfin rencontrer cette déesse hyper bien conservée, on est balancés entre trois scènes de cul hyper longues (à toi de jouer ! Rhôoo CMB ! T’as rien suivi ou quoi ?). Ces scènes sont ressemblantes : fellation, rapport vaginal puis anal, le tout sans capote, et enfin éjaculation dans la bouche de madame avec bien sûr une alternance de plans moyens et de gros plans. Classique. Seule scène que j’ai trouvée correcte et plus excitante que les autres c’est celle du flash-back de la déesse qui baise avec le pharaon, et encore. Les actrices ont par moment l’air de souffrir et d’arriver à épuisement plus qu’au plaisir qu’elles sont censées transmettre. Elles sont vraiment utilisées comme des jarres pleines de trous. Seule fois où elles reprennent un peu de dignité et semblent plus ou moins en position de force, c’est lorsqu’à la fin des actes elles lancent toutes un regard vers la caméra. Je n’ai donc pas aimé les scènes de cul, encore moins avec le scénario se résumant à beaucoup trop de « salopes » et « pute ». Le langage est trop fleuri à coups de « viens t’empaler sur ma queue », « je vais t’enfiler comme une chienne », « tu vas en prendre par tous les trous ». Ça m’a fait sourire au début, mais insupporté par la suite. Petit plaisir, auditif cette fois, c’est le son des FAP FAP FAP tout au long du film. Ça permet de faire abstraction d’une musique banale que j’aurais imaginée plus orientalisée hormis celle du générique de début.

Pour revenir à l’histoire, gros manque de crédibilité du côté des archéologues qui trouvent le tombeau aussi vite que moi pour trouver le bouton pour allumer mon vibro. Easy le job ! Et le doublage, OMG ! On part dans du pseudo accent arabe qui ressemble plus à l’accent de la mère juive d’un de mes potes. C’est cliché, tout comme la tenue de l’actrice de la première scène de cul. Perso, je n’ai jamais vu une danseuse orientale courir dans des montagnes poursuivies par trois bédouins la bite à la main. Allez, pas que du négatif, on voit quand même un peu de pays et ça, c’est appréciable. Ça donne envie de partir en Egypte et d’avoir la chance de tomber sur une déesse aussi belle et de lui faire rattraper de bien meilleure manière son abstinence millénaire.

L’Histoire racontée par Phallus Gump

Le film commence dans une citée interdite du désert égyptien, un couple d’archéologues Élisabeth et William y travaille.

Des bédouins arrivent pour empêcher ce couple de toucher à leur patrimoine et de profaner cette citée.

Nos archéologues déchiffrent des hiéroglyphes et trouvent la carte d’un trésor sur une tablette de marbre !

Les bédouins les poursuivent et veulent les interpeller mais un serpent les bloque…

Une touriste interprétée par Kristina Klevits avec un très fort accent ricain (un accent ridicule mais toujours moins que celui des locaux et leur imitation d’Enrico Macias) se promène sur une calèche, elle s’arrête sur les bords du Nil et demande à un pêcheur si il veut bien lui faire faire une balade sur le Nil.

Ce pêcheur très serviable prend cette touriste à bord et lui fait découvrir un lieu secret. Le lieu lui plaît le marin aussi !

Ils s’embrassent, le pêcheur dit à la touriste qu’elle le fait bander, ça tombe bien, elle mouille déjà !
Il vérifie l’humidité vaginale de sa langue et déguste ce sexe avec un doigt enfoui.

C’est au tour de notre touriste de vérifier si le sexe de cet Égyptien est bien bandé, constat faisant elle le prend en bouche tout en se caressant.

« Je vais t’exploser la chatte ! »

Déclare notre pêcheur

« j’aimerais la sentir profondément dans mon minou »

Lui répond la touriste

C’est parti pour une séance de baise, elle en perd son chapeau durant une levrette !
Elle s’assoit sur lui et s’empale Monsieur lui met un doigt dans le cul.
Ils se positionnent en cuillère pour commencer une sodomie.

« J’aime me branler avec une bite dans le cul »

Elle se place maintenant en position du cheval renversé le chibre de son amant toujours en son anus. Le pêcheur promeneur se retire pour venir lui éjaculer dans la bouche.

Notre chère touriste ne voulait pas se balader sur le Nil, son vrai but était de se faire un bel égyptien !

Retour dans le désert, trois bédouins (Force Bleu, Force Grise et Force Jaune) se font interpeller par une autochtone :

« qu’est ce que vous cherchez bande de bites molles »

Elle leur montre ses fesses, son sexe et se sauve.

Elle se fait vite rattraper par les bédouins aguichés et les suce…

L’un d’eux la branle pendant qu’elle suce et lèche les couilles des deux autres.

Force bleue la pénètre pendant qu’elle suce force grise, force jaune lui se branle.

Nous remarquerons que sous sa djellaba madame n’a aucune trace de bronzage !

« fait la durcir qu’elle puisse t’enculer »

« son fion me fait triquer »

« je vais te mettre ma pine dans le baveux »

Maintenant prise en levrette par force grise elle suce force bleue force jaune… se branle…

Échange de place entre force bleue et force grise mais force jaune lui, continue à se branler…

Force bleue l’encule pendant qu’elle suce force jaune. Force grise propose une double pénétration.
Force jaune se branle et enfin décide de la pénétrer :

« je vais te barbouiller le ventre »

Force grise éjacule en faciale et sur sa langue.

« c’est long mais c’est bon »

Elle lui nettoie courtoisement le gland, Force bleue fait de même : buccale/faciale

 

Dans la scène suivante nous retrouvons le couple d’archéologues au bord du Nil ou l’américaine remercie son baiseur.

Les archéos demandent au marin baiseur s‘il peut les amener au Caire, super serviable il les invite même à manger chez lui.

Une fois à la casbah nous rencontrons sa femme interprétée par Sandra Dark qui a préparé le déjeuner et un crocodile mort sur la table qui ne fait plus grand-chose du coup…

Ils mangent ensemble et à la fin de ce repas la maitresse de maison veut leur faire découvrir un plat particulier :’’la bite de son mari’’

Elle qui connaît bien ce plat s’empresse de la prendre en bouche et propose à Élisabeth d’y goûter, elle ne se fait pas prier et se sert même dans le pantalon de son mari pour deux fois plus de ce plat !

Pendant ce temps la maîtresse de maison danse en sous vêtements, Mouloud (le nom du pécheur) a un peu de mal à bander. Sa femme vient le reprendre en bouche. Les maris décident d’intervertir et ils comparent leurs suceuses.

Élisabeth se dessape et se branle en regardant la femme du pécheur sucer les deux sexes en même temps.

Mouloud vient retrouver Élisabeth et lui enlève sa culotte pour l’enfiler en amazone

William, lui, prend la femme de Mouloud en levrette pendant que celle-ci lui caresse les couilles.

Élisabeth qui au passage est une vraie blonde se fait prendre en cuillère (la position pas l’ustensile…) par Mouloud.

William reprend sa femme en levrette alors qu’elle lèche la maîtresse de maison.

Sodomies par leurs maris respectifs pour ces deux dames, levrette pour les archéologues, position du cheval inversé pour les Égyptiens

Le pêcheur vient se placer sur Élisabeth pour la prendre en double, l’égyptienne sûrement un peu jalouse se faire branler par William puis, laissée de côté elle se masturbe seule

« moi aussi j’en veux dans tous les trous ! »

déclare elle

Nos gentlemans se dévouent pour la prendre en double pénétration pendant qu’elle lèche la blonde Élisabeth.

Moment éjac venu ces messieurs éjaculent chacun dans la bouche de la femme de l’autre

« elle va goûter ma purée ta femme »

« c’était super bon, on s‘est bien éclatés, merci pour ce dessert »

C’est pas tout ça mais n’oublions pas qu’Élisabeth et William sont tout de même là pour le travail et surtout trouver un trésor.

Ils sont à présent sur une piste, ils rentrent dans un tombeau, admirent les fresques. Ils sont prêts du but !

Ils abattent un mur… Comme ça sans trop se poser de questions.
Ils sont sur la bonne voie et découvrent un sarcophage de 4000 ans ! Il doit contenir une déesse alors ils décident de l’ouvrir !

Quelle surprise dans le sarcophage une momie magnifiquement conservée !!

Wahou la momie se réveille et les remercie de l’avoir libérée.

C’est en fait la déesse Amiris (interprétée par Tania Russof) qui est descendue sur terre il y a 4000 ans pour apprendre les plaisirs de la vie aux hommes, elle raconte avoir été la maîtresse du pharaon et d’avoir été enfermée dans ce tombeau par sa femme.

Flash-back de sa vie d’époque dans un harem Amiris rejoint 4 femmes dans une piscine,
le pharaon regardant la scène lui offre son sexe. Elle va le sucer avant qu’il ne vienne la prendre en levrette.

« t’aime que je te ramone »

Puis il la prend dans la posture de la liane avant de la sodomiser en levrette
Elle choisit de s’asseoir dessus pour mieux sentir sa bite dans son cul. Elle se retire et il déverse son foutre dans sa bouche.

Retour à notre époque, William et Élisabeth amènent Amiris et lui font découvrir la civilisation moderne. En suite il rencontre un ministre pour qu’il subventionne leurs recherches, il lui montre une pièce ramassée dans le tombeau

Mais le ministre veut les arnaquer !! (ça n’a aucun intérêt en tout cas dans cette première partie…)

De retour avec la déesse ils lui disent que son époque est révolue Élisabeth dit qu’elle aurait aimé avoir des serviteurs. William, lui, aurait aimé être pharaon !

Un local répondant au nom de Karim offre des cadeaux au couple d’archéologues puis amène William au souk.

Une fois là bas, ils tombent sur une vendeuse interprétée par Regina elle vend ses bougies en dévoilant son corps

« tu vas d’abord t’occuper de nos queues »

Cette vendeuse suce Karim et William en même temps très peu de temps après…

Ils la déshabillent et remarquent qu’elle est déjà trempée William dit qu’il veut lécher ses seins mais lui lèche la rondelle pendant qu’elle suce Karim.

William, une fois son travail de léchage accompli, la pénètre en levrette.
Après, elle vient s’asseoir sur le sexe de Karim et suce William. Changement de rôle, William vient à son tout limer pendant qu’elle suce Karim, changement de position Karim peut à présent la branler et lui lécher les seins .

La scène se termine à peu près comme toutes les autres sodomie DP, éjac buccale…

Le film se termine dans un harem avec un caméo de Pierre Woodman en tenancier. Le ministre de la culture vient tester les nouvelles femmes du harem,=.
Il choisit 5 femmes et FIN la suite est promise dans The pyramid 2 !


Synthèse

Mouais alors est-ce qu’on a envie de voir The Pyramid 2 ? Bof, les scènes de culs sont longues, trop longues. C’est bizarre de dire ça pour un film porno mais ça casse le rythme !

D’ailleurs le film lui aussi est long 2H !

Après pas mal de petits hics, des clichés énormes sur les égyptiens, des regards camera en fin de scènes bien gênants et toujours le même combo Pénétration vaginale puis anale double si possible pour finir en buccale toutes les mêmes scènes !

Jamais de préservatifs mais apparemment c’est traditionnel chez Private…

Ce film est destiné à un public exclusivement masculin est c’est regrettable.

 

Giclette(s)